J'ai une grande sympathie pour Patrick Delaunay qui m'a fait la confiance d'être présent dans 2 ouvrages dont j'assume la direction artistique. A la galerie Jamault à Paris, ce n'est pas son expressionnisme radical, nerveux et nocturne qui est mis en avant mais sa sensibilité frémissante figurative dédiée aux "figures" mythiques du jazz qu'on aime : mystique, puissant et terriblement humain. Un des rares peintres qui fait swinguer "les huiles" du jazz éternel. © antoine campo
Célèbre pour ses portraits à l’huile de musiciens et chanteuses (peintures dans Love Me, film de Lætitia Masson, dans Le Blues, éditions Méréal), d’écrivains (expositions, publications), Patrick Delaunay est aussi, pour d’autres images, présent dans les récents beaux livres : L’Expressionnisme contemporain, La bible de la figuration contemporaine(éditions Lelivredart, art director Antoine Campo).
" La percussion des rythmes, la sensualité des ballades et la présence physique des musiciens se fondent dans les couleurs et la précision des traits du peintre amateur de jazz " (Jazz Hot magazine)
"Il y a de l’émotion derrière le rideau de fumée, du swing dans les mains de « Sphere », de la douleur dans les yeux de « Lady Day », de la recherche spirituelle derrière la boîte coltranienne. Les tableaux se mettent à bouger, à danser, on entend la musique monter en nous." (Souillac en Jazz festival.)